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Portrait de Maxime, bénévole au pôle communication

Publié le 09/06/2017
Portraits
Portrait de Maxime, bénévole au pôle communication

Maxime est un des plus jeunes bénévoles d’Aviation Sans Frontières. Depuis un an, il met ses compétences de journaliste et de photographe au service de la communication. Il réalise entre autres les portraits que vous lisez chaque mois dans cette newsletter. Aujourd’hui, c’est lui que nous avons souhaité mettre en lumière… Entretien

 

Bonjour Maxime, d’où te vient cette passion pour l’aviation ?

« J’ai toujours été fasciné par les avions. Voler est sans aucun doute la plus belle des manières de vivre la liberté. J’ai grandi à proximité d’un aérodrome en Normandie et je me rappelle que lorsque j’étais enfant, au moindre vrombissement inhabituel, je m’empressais de sortir de chez moi pour lever la tête et voir à quoi ressemblait cet appareil que je n’avais encore jamais vu voler dans les parages. De temps en temps, l’été, mon père m’emmenait à l’aéro-club et m’offrait un vol au dessus de la région. C’était à chaque fois un grand moment d’émerveillement.

Plus tard, à l’adolescence, j’ai eu la chance d’apprendre à piloter. Quelle grande joie d’être aux commandes d’un avion léger ! Je n’ai pas pu aller jusqu'au bout de la formation de pilote privé pour des raisons financières, mais j’ai acquis un peu plus d’une trentaine d’heures de vol sur des monomoteurs à pistons (MS880 et PA28). »
 

Et tes premiers pas en tant que journaliste ?

« J’ai commencé à voyager et à m’enrichir au contact d’autres cultures. D’abord dans toute l’Europe, puis en Amérique et en Asie. Cette ouverture sur le monde m’a donné envie de mieux le comprendre. J’ai aussi découvert l’écriture et la photographie. Alors, tout naturellement, je me suis dirigé vers le journalisme. Un métier passionnant qui permet d’aller à la rencontre de personnes de tous horizons pour leur donner la parole, raconter leurs histoires, et finalement observer comment tous ces témoins vivent localement et trouvent des solutions à toutes les grandes mutations de ce monde.

J’ai ainsi travaillé dans la presse régionale, à Ouest-France, une excellente école de journalisme, avant de m’intéresser à la télévision et de rejoindre pendant deux mois l’équipe de Première, chaîne locale du groupe France Télévisions, à Saint-Pierre et Miquelon. Après avoir vécu de très riches expériences dans différents médias, je veux dorénavant me consacrer à la communication digitale. »
 

Comment as-tu pu concilier tes acquis professionnels et ta passion pour l’aéronautique ?

« Fasciné par l’effervescence créative du web, j’aime explorer cette révolution numérique. Une exploration que je mène dans le domaine de la photographie, mon autre grande passion. Depuis un peu plus de deux ans maintenant, je pratique la phonéographie, une discipline qui consiste à réaliser des clichés à l’aide d’un smartphone. J’aime plus particulièrement saisir des moments de poésie dans les aéroports. Des clichés que je publie régulièrement sur mon compte Instagram. »
 

Comment as-tu rejoint l’association et quelles sont tes missions ?

« Il y a un an, de retour en Ile-de-France après quelques années passées en province, j’ai contacté Juliette, responsable du pôle communication d’Aviation Sans Frontières, pour lui proposer d’apporter bénévolement mes services. Il me tenait à cœur de mettre mon temps libre et mes compétences au profit d’une association humanitaire et elle a tout de suite accepté ma proposition.

Intégré dans l’équipe qu’elle forme avec Cécilia, je participe à la création de différents contenus. Qu’ils s’agissent d’articles pour La Lettre ou la newsletter, de vidéos pour notre chaîne YouTube, ou encore de photos pour notre banque d’images ou notre compte Instagram. Je suis ravi de m’être engagé dans cette belle ONG.

J’y ai fait de belles rencontres, notamment celles de Sim (NDLR : Gérald Similowski, Président fondateur d'Aviation Sans Frontières) et de Zoltàn (NDLR : Zoltàn Kovacs, ancien-Président) dont j’admire l’engagement. Leur humanisme est une précieuse boussole dans cette époque à la fois tourmentée et pleine d’espoir. »

 

 

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